²»Á¼Ñо¿Ëù

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Mark Ware, v.-p. du groupe de travail sur le cannabis

±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 30 June 2016

Le Dr Mark Ware, spécialiste de la douleur et chercheur médical sur le cannabis de renommée mondiale, et directeur de la recherche clinique à l’unité de gestion de la douleur Alan-Edwards du Centre universitaire de santé ²»Á¼Ñо¿Ëù (CUSM), a été nommé vice-président d’un important groupe de travail fédéral pour orienter le gouvernement canadien qui, au printemps 2017, proposera une loi pour légaliser la marijuana.

Le Dr Ware, qui est également professeur adjoint de médecine familiale et d’anesthésie à l’Université ²»Á¼Ñо¿Ëù et chercheur au programme en réparation du cerveau et en neurosciences intégratives (RCNI) de l’Institut de recherche du CUSM (IR-CUSM), étudie l’utilisation, la sécurité et l’efficacité du cannabis à des fins médicales depuis 16 ans. Il participe également à des études en population sur les répercussions de la douleur et sur l’évaluation des thérapies complémentaires pour gérer la douleur et les symptômes.

« En qualité de médecin et de chercheur, je connais les enjeux importants que les professionnels de la santé du Canada devront envisager à l’égard de l’utilisation du cannabis, déclare le Dr Ware. J’ai un point de vue équilibré sur le sujet et une excellente capacité de communiquer avec un vaste éventail d’intervenants. »

Dirigé par l’ancienne ministre Anne McLellan, le groupe de travail, dont le gouvernement fédéral a annoncé la création dans le cadre d’une conférence de presse aujourd’hui, consultera des experts de divers domaines un peu partout au pays et fera des recommandations sur la production, la distribution, la vente au détail et la consommation de marijuana.

Le Dr Ware félicite le Canada pour son intention de jouer un rôle de chef de file en matière de réglementation du cannabis dans le monde. « Le modèle de prohibition n’a pas réussi à contrôler l’utilisation du cannabis ainsi qu’à déceler et prévenir convenablement les dommages, ajoute-t-il. Il a également créé un énorme marché noir qu’il est impossible de réglementer. Je pense que, dans l’ensemble, il s’agit d’une étape très positive et très importante. »

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